Le gouvernement œuvre régulièrement en faveur de la santé pour les jeunes. Dès l’enfance, pendant l’adolescence et lorsqu’ils sont étudiants, les Français peuvent profiter de bon nombre de dispositifs déployés en faveur de leur bien-être.
Afin que le budget de parents modestes ne soit pas un frein à l’accès aux soins médicaux, l’État, en collaboration avec l’Assurance maladie, déploie le dispositif M’T dents qui offre des consultations prises en charge à 100 % par la CPAM. La santé pour les jeunes passe aussi par des soins dentaires qui, en l’absence de mutuelle, sont parfois onéreux. Grâce à cette campagne nationale, chaque enfant est invité gratuitement à consulter un dentiste.
Dans les collèges français, des campagnes de vaccination ont aussi lieu. Pour protéger les jeunes filles des séquelles du papillomavirus, les médecins se rapprochent d’elles directement au sein de leur établissement scolaire pour leur injecter sans frais le vaccin HPV. En plus d’éviter frais et démarches aux parents, ce nouveau protocole comporte l’avantage de permettre aux enfants d’être informés des risques de cette maladie sur la santé des jeunes.
Enfin, pour que de petits moyens ne soient pas un frein à la santé des jeunes, la sécurité sociale étudiante est également déployée. Avantageuse pour ceux qui se trouvent sur les bancs des universités, cette couverture sociale rembourse une large part des dépenses médicales de ses bénéficiaires. Elle offre un accès aux mutuelles étudiantes et permet même d’affilier d’éventuels ayants droits. En contrepartie d’une cotisation unique, les privilèges qu’elle offre sont valables une année complète.
Pour pouvoir rester au chevet d’un enfant fiévreux ou victime d’un accident, les salariés peuvent faire valoir leur droit au congé enfant malade. Pendant une
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